Lisbonne : Scandaleux, honteux et dégradant ..
La
municipalité
de Lisbonne
est entrée
dans la
mouvance,
et a installé de nombreux
radars
en pleine
ville, mis
effectivement
en action
depuis juillet
2007.
Concernant
les radars au Portugal
(mais pas seulement), il semblerait que parfois on ne cherche pas uniquement à dissuader, prévenir, voire
à éduquer, mais à
racketer les automobilistes, en les
infantilisant et en le piégeant à
tout prix
au lieu des les responsabiliser. Les radars dans les poubelles Ces
photos
pas
spécialement récentes
mais très
éloquentes
d'un radar
placé dans une poubelle, le tout caché
derrière un arbre, ont été prises en plein
Lisbonne. Il
est donc
intéressant
de savoir
qu'à
Lisbonne, pour
racketer
les automobilistes
on peut
pousser le vice
jusqu'à
cacher
les radars
dans les
poubelles
à
ordures
placées
derrière
les arbres!
Cette façon d'agir est
nauséabonde. Il est dégradant pour un automobiliste
d'être traité de la sorte. Les
citoyens en sont donc réduits
à être assimilés à des
rats que
l'on piège
dans de
vulgaires
containers
à
ordures,
qui
plus est
planqués
lâchement
derrière les arbres ?
Lamentable
Ces procédés sont puérils,
avilissants et dégradants. Ces méthodes
sont indignes et scandaleuses.
Il s'agit là
d'un exemple flagrant
d'un manque
de respect
total envers
les automobilistes
et d'un
évident
mépris
envers les
citoyens.
Mais
nous sommes bien évidemment persuadés
qu'il ne s'agit là que de "dérapages" probablement
surgis des cerveaux
étroits
et tordus d'une
poignée
de technocrates quelconques,
aussi vicelards que
grassement
payés par
la collectivité, et
que la pesanteur
du vide
et de l'inutilité
ont poussés
à
croire qu'ils
ont trouvé
l'idée
qui les
sort de
leur médiocrité
cérébrale...
Car
il ne viendrait
à
l'idée
de personne de
sensé
de penser
que les radars à
Lisbonne,
au Portugal
(ou ailleurs) ne sont mis en place que dans
le but de piéger et de racketer les automobilistes.
Cela va bien sûr de soi.
Conclusion
Puisqu'il
s'agit ici
d'une chronique,
on peut
s'aventurer
à
dire que l'on
comprend
sans doute
mieux la
raison pour
laquelle
lors des
élections
municipales
de Lisbonne
en juillet
2007, seul
un nombre
historiquement
ridicule
de lisboètes
a daigné
se déplacer
aux urnes. Ils
ont une
mémoire.
L'écrasante
majorité
d'entre
eux a probablement
et simplement
refusé
de se
risquer
à
donner la voix
à ceux
qui acceptent
le fait
que l'on confonde
les pièges
à
citoyens...
et les ordures.
Lisbonne
manque encore
de toute
évidence
de "super-femmes de
ménage"
réellement
efficaces,
capables
de balayer
définitivement
les combles
caricaturaux
de l'inutilité
et de la
médiocrité.
Portugalmania
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