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25 Avril au Portugal

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avril 2011

 

 

 

 

 

 

Le 25 Avril au Portugal

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25 Avril au Portugal

25 avril portugalIl est bon de se souvenir...

Que le 25 Avril au Portugal n'est pas qu'une simple date sur le calendrier.

Il ne s'agit pas d'un jour marquant un fait superficiel ou anecdotique.

25 Avril HD

On pourrait dire que le 25 Avril au Portugal est un jour HD, un jour en Haute Définition. Car il a marqué le Portugal, avec un grand H comme Histoire; et a marqué les portugais avec un grand D comme Dignité.

Ce 25 Avril 1974 les portugais ont retrouvé la dignité qu'on leur avait ôtée pendant des décennies de fascisme.

Voir la section 25 Avril au Portugal

 

Dignité de nouveau ôtée

La dignité des portugais leur a ensuite de nouveau été ôtée par l'entité prétendant pompeusement être "l'europe".

Ironie de l'Histoire. Aujourd'hui, 25 Avril 2011, le Portugal est en train de subir la visite de véritables loups, clairement venus pour "raser" la population au nom de leurs commanditaires et du maintien à tout prix de l'actuelle imposture européenne, un parfait condensé de charlatanisme n'ayant d'europe que le nom.

 

L'actuelle europe : Un désastre

Les portugais sont conscients que leur condition s'est nettement dégradée depuis leur entrée dans la machine infernale se prétendant être l'europe, en réalité un monstre à appauvrir et à manipuler dirigé par une oligarchie et dominé par l'Allemagne.

Désormais le point culminant de cet appauvrissement est en train d'être atteint. Cette eurocratie est un désastre. Le niveau considérable d'efforts inutiles et aberrants qu'on inflige aux portugais est insupportable. La révolte se profile, et pas seulement au Portugal.

 

Le Portugal, non pas aidé, mais pillé.

L'actuelle présence de la commission européenne, de la BCE et du FMI au Portugal a pour objectif, non pas "d'aider" ou de "sauver" le Portugal comme on le clame partout à grands renforts de communication manipulée. "On" va au contraire enfoncer le Portugal en lui "prêtant" environ 80 Milliards à taux fort. Cela va donc endetter davantage le pays, et ce uniquement, pour d'une part renflouer les banques; et d'autre part être certains que le Portugal paiera bien ce qu'il est sensé devoir au banditisme financier qui l'a racketté depuis des années.

En effet, le Portugal a été livré par l'actuelle europe aux marchés financiers incontrôlables (Article 104 du traité de Maastricht). Le Portugal et les portugais sont donc rançonnés depuis 1992. Tout est parti de là. C'est ici le point de départ du malheur qui touche les européens. Le Portugal se retrouve comme les autres pays de la prétendue "union européenne", pseudo-endetté par une dette qui n'en est pas une, et qui n'est que la conséquence d'un véritable pillage organisé.

 

Des élections inutiles

Des élections législatives vont bientôt avoir lieu en Juin 2011 au Portugal. Mais elles n'auront strictement aucune importance et seront le comble de l'inutilité. Car les élus quels qu'ils soient, seront de simples servants réduits à appliquer les directives qui leur auront été imposées par cette europe. Il faut être lucide : désormais même une chèvre ferait l'affaire pourvu qu'elle soit bien obéissante, et qu'elle sache amuser les citoyens avec des discours creux et inutiles.

Les portugais se sont déjà largement aperçus de l'inutilité croissante de leurs politiciens depuis leur entrée dans cette europe, puisque 80 % des lois adoptées résultent des directives de Bruxelles. Désormais, après le "programme" imposé au Portugal par la clique organisée, il restera aux élus portugais un pouvoir de décision proche du niveau zéro.

Il est très probable que les prochaines élections confirmeront l'immense désintérêt des populations pour une politique réduite à une grotesque farce. Les citoyens ont pris conscience que l'existence de démocratie à laquelle on leur fait croire n'est qu'une mascarade, et qu'en réalité on ne leur propose aucun véritable choix, que celui de "marcher ou de crever" dans une eurocratie technocrate synonyme de restrictions, de privations, de mal-être et de misère.

 

Un ver insidieux et destructeur

Cette fois-ci, la dignité des portugais leur a donc été ôtée par les conséquences des hérésies du "vulgaire machin se prétendant être l'europe", dont le concept a permis à une bande organisée de massacrer le Portugal en s'acharnant sur lui en véritables charognes.

L'actuelle prétendue europe est un immense piège dans lequel le Portugal s'est laissé enfermer comme les autres pays entraînés dans le même traquenard, et qui subissent un immense racket depuis qu'ils ont été livrés par les règles absurdes de l'actuelle europe au bon vouloir d'un nouveau banditisme, le banditisme financier néo-libéral, un ver aveugle et destructeur ayant réussi à se fondre dans le fruit pour mieux attaquer ses victimes.

 

Attention aux sirènes

Il faudrait cependant faire attention, au Portugal comme dans les pays que les règles de cette europe ont livrés au pillage financier, de ne pas céder aux appels de sirènes qui profitent du contexte pour tenter de se rendre attractifs en usant des armes paternalistes et populistes, afin de tenter de prendre le pouvoir.

Certains partis opportunistes surfent en effet sur la médiocrité de cette europe, ainsi que sur l'exaspération et le rejet massif par les populations de cette machine eurocrate, pour tenter de manipuler les citoyens. Et ils y parviennent peu à peu.

Certes les populations se rendent compte désormais que l'actuelle entité se prétendant être l'europe s'est avérée être un échec sans égal. L'ampleur de l'échec affiché par cette machine à broyer n'est finalement que proportionnel à la dimension de la supercherie, puisque les rouages régissant l'actuelle europe aboutissent à la plus grande escroquerie que les populations aient subi depuis longtemps.

Mais face à cet immense désastre pour les populations auquel on assiste, c'est vers la racine du mal, donc vers l'entité qui actuellement prétend être l'europe qu'il convient d'orienter les regards et les énergies, afin de l'empêcher de continuer à nuire.

Il serait absurde de se laisser duper par des appels de partis qui utilisent la manipulation en tant que support populiste pour parvenir à leurs fins.

 

En finir avec cette pièce dramatique

La plupart, y compris de plus en plus d'anciens "européens convaincus", s'accordent désormais à dire qu'il faut évidemment en finir avec l'actuelle entité eurocrate qui a appauvri, endetté, détruit, créé chômage, peurs, précarité, incertitudes, inégalités et violence. En finir avec l'actuelle europe qui méprise les citoyens qui la composent. Partout où ils peuvent s'exprimer, leurs commentaires attestent d'ailleurs de leur immense exaspération pour l'actuelle aberration eurocrate.

Ils veulent en finir  avec ce monstre technocrate afin d'envisager - qui sait - d'essayer d'enfin créer une Europe digne de ce nom, une véritable Europe qui leur ressemble; une Europe respectable et conçue avant tout pour eux, dans laquelle ils seront le véritable centre et non des laissés pour compte; de simples pions manipulés victimes d'une pièce de théâtre ridicule et médiocre dans laquelle ils ne sont même pas acteurs, mais des prisonniers méprisés.

Mettre un terme à cette entité désastreuse qui met à mal les politiques sociales, qui anéanti les services publics essentiels, qui dévaste la qualité de vie des européens, leur pouvoir d'achat, leur libertés, leur bien-être, leur santé et leur avenir... En finir avec l'actuelle fourberie européenne, oui, c'est évidemment le souhait de l'écrasante majorité des citoyens qui la composent malgré eux, puisqu'entraînés de force dans cet écrasant piège infernal.

... Mais ...

Mais pas n'importe comment

Les citoyens européens n'aspirent pas à autre chose qu'à leur droit légitime à pouvoir vivre "normalement". Or ils en sont empêchés par les incessants "manques d'argent" rétorqués par leurs politiciens respectifs; et pour cause, puisque cet "argent manquant" est allé depuis des années alimenter l'énorme soif des entités financières. On sacrifie donc en permanence le bien-être des populations sur l'autel de la finance.

La nécessité d'en finir avec cette entité anachronique se prétendant être l'europe est donc une évidence, mais pas à n'importe quel prix et pas n'importe comment.

Une partie des populations succombe en effet inévitablement aux promesses des partis populistes, voyant que ceux-ci sont malheureusement les seuls à déclarer vouloir en finir avec l'entourloupe européenne actuelle.

Mais réfléchissons bien. Les populations n'ont pas besoin de partis populistes pour rejeter cette gigantesque arnaque. L'imposture européenne actuelle n'a pas besoin de sombres gourous pour être décapitée. Elle se désintègre lamentablement et toute seule au fil des mois. Et les populations ne manqueront pas de l'achever au moment opportun, vu qu'elles n'en supportent plus le poids des hérésies ni les immenses conséquences préjudiciables qu'elles constatent au quotidien.

Les citoyens n'ont pas besoin des souffrances inutiles que cette machine eurocrate leur fait endurer pour gaver ceux qui en tirent les ficelles. La fin de cette anomalie européenne semble inéluctable. Ce grand accident de parcours se cachant habilement derrière le pompeux qualificatif "d'europe", est de toute façon une grave maladie désormais en phase finale.

Il n'est donc pas besoin de céder aux tentations populistes, car la majorité s'accorde à penser que cette europe dévastatrice va inévitablement éclater d'elle même. La désintégration de sa monnaie unique sera le premier pas. Et s'il le faut, les citoyens l'aideront en ce sens en ouvrant enfin les yeux sur la cause véritable et réelle de la plupart de leurs malheurs et des inconvénients qu'ils subissent.

 

Se souvenir du 25 Avril au Portugal

Il conviendrait donc de bien garder en mémoire ce qu'a été le Portugal sous un dictat fasciste, aux allures initiales enjoliveuses, et qui a vite abouti à l'abolition des libertés essentielles de l'individu, les réduisant à néant.

Les pouvoirs dictatoriaux, même s'ils prennent une "apparence humaine" et séductrice, retrouvent vite leur véritable identité dès qu'ils se retrouvent en position dominante. Le piège est énorme et le danger est réel.

 

Pour mémoire...

Contrairement à ce que certains "nostalgiques" pensent, le Portugal de salazar n'était qu'un vulgaire couloir étroit et sombre empli de pourriture. Mais il était aussi un vivier de violence. Les chiffres n'étaient pas divulgués puisque l'information était censurée. Non seulement cela évitait d'inciter les portugais à la révolte, mais cela laissait surtout croire à la population qu'elle vivait finalement dans un monde préservé dans lequel la violence n'existait pas.

Contrairement à ce qu'on a fait croire aux mêmes "nostalgiques", le Portugal sous le régime fasciste connaissait un taux de chômage d'un niveau impensable. Après coup, on estime que le taux moyen de chômage sous le régime dictatorial de salazar avoisinait les 30% ! Un portugais sur trois était sans emploi. Et l'immense partie de ceux qui avaient la chance de travailler avaient tout juste le droit de compter les haricots dans leur assiette.

Si les portugais ont émigré par millions à cette époque, c'est justement parce que le taux de chômage et de misère étaient d'une ampleur insupportable. Sans cette émigration massive, le Portugal aurait littéralement éclaté sous la faim et la révolte.

Qui de lucide et de responsable peut vouloir renouer avec un tel gâchis et avec de tels régimes ?

 

Un devoir citoyen

Même si la notion de démocratie dans cette prétendue europe n'est qu'illusoire puisque enrobée de tromperies, d'apparence, de vide et de manipulations, il faut défendre la démocratie et faire en sorte de la retrouver véritablement. Il faut que les élites politiques des pays concernés redeviennent autre chose que de simples marionnettes sans pouvoir, et de lamentables valets mis à genoux aux ordres de la "médiocratie" étouffante qu'est cette europe.

Mais en parallèle, ne pas céder à la tentation des sirènes populistes est une nécessité impérative. C'est aussi une forme de respect envers ceux qui ont souffert des régimes dictatoriaux comme celui qu'ont enduré les portugais pendant des décennies. C'est une forme de respect envers ceux qui ont dû émigrer pour manger à leur faim; et envers ceux qui ont été contraints de quitter leur pays et d'émigrer pour préserver leur liberté.

 

Responsabilité et lucidité

Il faut en finir avec la supercherie qui s'est octroyée l'appellation d'europe afin que cessent les conséquences ravageuses de ses stratagèmes destructeurs. C'est une évidence. Il est urgent de faire stopper cette machine qui mine les populations européennes. Et le plus vite sera le mieux. On ne peut plus se cantonner à entendre les chants éternels de politiciens irresponsables qui veulent maintenir à tout prix cette stupidité en vie artificielle, pendant que les populations en pâtissent et en subissent les invraisemblables conséquences au quotidien.

Mais pour cela les citoyens doivent compter sur leur sens de la responsabilité et leur propre détermination. Les populations sont adultes et parfaitement capables de ne plus se laisser manipuler, et de dire massivement "Stop" à la bête à détruire européenne, sans avoir besoin de se tourner vers des pseudo-dieux d'opérette, qui cherchent à les entraîner vers des chemins aux odeurs nauséabondes.

drapeau portugais

Vive le 25 Avril au Portugal

L'actuel "machin auto-proclamé à tort europe" se fragmente et se désintègre d'un bout à l'autre. De la Finlande à la Grèce c'est désormais une évidence : les populations rejettent cette hérésie, ses bases bâties sur une énorme absurdité, sa banque centrale, ainsi que sa monnaie dite (*) unique. Les pays qui n'ont pas adopté l'Euro tel le Danemark se réjouissent de leur choix. Ils ont échappé au pire et du coup se retrouvent en bonne posture et hors de portée du trouble subi par les pays piégés.

(*) La monnaie dite unique n'est en réalité pas une monnaie unique puisque pour se procurer 1 Euro, aucun des pays concernés ne le paie au même taux. Ainsi la Grèce paie 4 à 5 fois plus cher que l'Allemagne pour obtenir sa monnaie. L'euro n'a donc d'unique que l'apparence. Et cette énorme disparité est un des facteurs qui contribue à l'appauvrissement de nombreux des pays concernés. Comme avec cette europe ils n'ont pas le choix de s'auto-financer en interne, ils accumulent ainsi de gigantesques pseudo-dettes incohérentes.

 

Le Portugal comme les autres, a tout à perdre s'il attend que l'actuel escroc eurocrate s'auto-détruise à petits feux et se désintègre par ses propres incongruités. Il ne ferait qu'empirer l'état dans lequel il a été mis en restant prisonnier d'un jeu de dupes conçu et articulé autour d'un seul pays, l'Allemagne, celle qui dicte ses conditions et ses règles aux technocrates européens et à ses prétendus partenaires qu'elle vampirise.

Le Portugal doit retrouver son autonomie, sa capacité à décider et son libre-arbitre. Il doit se sortir de l'opacité de l'empire de papier eurocrate qui l'a ruiné, qui l'étouffe, et qui désormais va même aller jusqu'à vendre des parcelles du patrimoine portugais et des composantes de l'identité portugaise. Un gâchis inqualifiable, inadmissible, insupportable.

Les portugais sont carrément insultés par la médiocrité et l'absurdité de l'actuel truc à détruire européen. Vont-ils enfin se débarrasser pour de bon de cet abominable mal qui les ronge ? On dit que ce qui est excessif est dérisoire ou insignifiant. Ce n'est malheureusement pas le cas de l'actuelle absurdité européenne dont les excès d'hérésies ont réduit les portugais à l'état d'esclaves.

Vive le 25 Avril 1974 au Portugal. Vive la liberté retrouvée pour les portugais à cette date. Et faisons en sorte que la liberté retrouvée au Portugal le matin de ce 25 Avril 1974 ne soit pas un mot vain !

Voir aussi la section 25 Avril au Portugal

 

Portugalmania - 25 Avril 2011
(certains liens ont été ajoutés en juin 2011)

 

 

 

 

 

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