Cascais : Mépris pour les touristes étrangers ?
Cascais, une charmante localité de la région de Lisbonne,
est-elle devenue une sorte de centre de banditisme
organisé, où l'on pratique impunément le racket
sur les touristes étrangers ?
Les
pratiques qui semblent se
dérouler à Cascais envers les automobilistes étrangers,
porteraient à croire en effet, que Cascais est
devenue une sorte d'endroit méprisant les touristes,
et peut-être plus encore...
Cascais
...
Cascais
est une bourgade colorée et sympathique n'ayant
pas désiré acquérir le statut de ville, afin
de ne pas avoir à subir les lourds inconvénients
(administratifs, coûts et logistique),
que cela engendrerait.
Il
n'empêche que Cascais et son agglomération dépassent allègrement les 200 mille habitants.
L'agglomération (Concelho)
de Cascais, située dans la région Ouest de Lisbonne, s'étend
le long de la côté appelée "Linha de Cascais",
et englobe entre autres Carcavelos et Estoril,
qui sont des circonscriptions dépendantes et
attachées à Cascais. La fameuse plage du
Guincho fait ainsi, comme 16 autres, partie
des plages que Cascais offre à ses visiteurs. Ce
charmant ancien village de pêcheurs devenu avec
le temps une station balnéaire renommée,
a toujours fait preuve d'un grand dynamisme
et s'avère manifestement un endroit attirant pour les touristes qui la
visitent.
Englobée
dans le "Parc naturel de Sintra-Cascais",
Cascais possède de nombreux attraits, naturels,
paysagistes, patrimoniaux, ludiques, climatiques,
et touristiques
en général, permettant de combler pratiquement
toutes les envies. La
dynamique, la qualité et la quantité d'événements sportifs et culturels de niveau
international ainsi que les concerts qui se
déroulent à Cascais, font de ce lieu une incroyable
scène au sens large, marine et terrestre.
Cascais
et les touristes De
par les témoignages que nous recevons,
il semblerait cependant que depuis quelques
mois, Cascais se serait transformée en une sorte
de piège à touristes, méprisant les visiteurs,
et particulièrement ceux qui visitent cascais
avec une automobile immatriculée à l'étranger.
Parmi
les "plaintes" rencontrées le plus
fréquemment, figurent : - Un
office du tourisme de Cascais quasi-symbolique ne pouvant pratiquement
plus répondre à aucune demande. La piètre qualité de l'accueil proposé
généralement par des jeunes gens qui s'ennuient,
se superpose au manque quasi-total de documentation
disponible, rendant ce lieu inutile.
- Des restaurants
abusant allègrement des clients (étrangers?),
par le prix élevé, avec pour seule contrepartie une qualité
déplorable autant du service que culinaire.
Il y demeure des exceptions qu'il
convient de bien chercher. - Des
abus intolérables de la part des entités locales
en charge de la réglementation du stationnement,
qui semblent s'adonner à une véritable chasse
zélée aux voitures ayant une immatriculation étrangère. D'après
les témoignages, cette "chasse" pourrait
parfois s'apparenter à une sorte de banditisme organisé, dans la
mesure où ces automobiles feraient l'objet d'une
surveillance curieusement accrue, et seraient de
surcroît victimes de discrimination par rapport aux voitures immatriculées au Portugal.
Les
touristes concernés seraient donc victimes d'abus à
Cascais. A
titre d'exemple, un véhicule stationné
sur un emplacement payant et n'affichant
pas de ticket payant, ou ayant dépassé l'horaire
indiqué sur le ticket de plus de deux
heures, semblerait immédiatement être pris en charge par
la fourrière de Cascais, entraînant un paiement
total de près de 130 Euros (remorquage fourrière,
stationnement fourrière, contravention).
Autrement
dit, pour un ticket oublié d'horodateur coûtant 1 Euro, une automobile se retrouve taxée de 130 fois "la mise". Il est vrai que Cascais
bénéficie du casino d'Estoril. Mais de là à confondre
les touristes et les machines à jeu, est pour le moins surprenant,
s'agissant qui plus est d'une localité touristique.
(Il
est à préciser que ceci semble être la norme
correspondant aux sanctions régissant le stationnement
et stipulées dans le code de la route portugais.
Cependant, ce véritable racket infligé aux automobilistes,
n'est heureusement pas appliqué tel quel par
la plupart des villes, qui se content d'établir
un PV. La municipalité de Cascais quant à elle,
affiche visiblement du zèle qui la déshonore
et la propulse parmi les villes dans lesquelles
il faut éviter de s'attarder, et qu'il faut
éviter de visiter sous peine de se retrouver
otage, manipulé et pillé sous couvert de loi).
Cela
signifie donc qu'un touriste avec une automobile
étrangère ayant stationné son véhicule pour
se rendre au restaurant, s'être promené dans
la ville, avoir parcouru les magasins pour faire
des achats, et donc contribué à l'enrichissement
de l'économie locale, se retrouve déconsidéré
à un point extrême, et dans une situation autant
intolérable qu'inconfortable. En somme, pris
pour un véritable pigeon.
Le plus grave à Cascais sur ce plan ...
Outre
le fait qu'un touriste étranger dans ce cas,
se retrouve à devoir payer 130 fois le prix
d'un ticket horodateur, (soit plus d'un 1/4
du smic actuel au Portugal), pour avoir osé se livrer
à du tourisme à Cascais, d'autres éléments inacceptables sont à prendre en compte, et
doivent faire l'objet de plaintes de la part
de ceux qui se retrouvent victimes de la municipalité de Cascais :
- A
Cascais, les voitures immatriculées à l'étranger
situées dans le cas décrit ci-dessus, seraient
curieusement amenées à la fourrière, alors que
des voitures immatriculées au Portugal et se
trouvant dans le même cas, seraient quant à
elles simplement verbalisées. (De 30 Euros
tout de même, pour un simple non affichage de
ticket). Si
elle est avérée, cette
distinction est grave,
dans la mesure où les autorités municipales
de Cascais pratiquerait de la
discrimination envers les automobilistes étrangers.
A certains
endroits de Cascais, dont les emplacements de
stationnement situés sur le lieu où du marché de la
ville, on nous a même fait part d'une
possible de sorte de connivence entre des
résidents et les autorités verbalisatrices de
Cascais. En effet, cet endroit précis, qui ne
s'avère être d'aucune gêne sur le plan du dépassement
de l'heure payante de stationnement, mais qui
par contre est un endroit idéal pour que les
camions d'enlèvement viennent "cueillir
leurs proies", pourrait être un lieu
où la complicité entre résidents et autorités
pourrait être de mise.
Nous
ne pouvons cependant pas l'affirmer, et tant
mieux, car il s'agirait de banditisme municipal organisé.
Nous nous contentons donc de relater des témoignages et des suppositions découlant d'observations
et de commentaires, notamment de "victimes".
Discrimination
à Cascais
Par
ailleurs, lorsqu'un automobiliste immatriculé
à l'étranger a été verbalisé pour dépassement
d'horaire, (ou pire encore, qui a vu son véhicule
conduit à la fourrière), il se retrouve dans l'incapacité
de payer "le racket", de la même façon
qu'un autochtone. En
effet, à cette date, à la fourrière de Cascais
seul est accepté un paiement par carte bancaire "multibanco",
qui n'a cours qu'au Portugal, et dont est évidemment
dépourvu tout touriste étranger se rendant au
Portugal. Cet état
de fait rocambolesque entraîne ou peut entraîner
des inconvénients et des conséquences pratiques
importantes. Ces autorités locales de Cascais
qui s'acharnent avec véhémence contre les automobilistes étrangers,
ne prennent même pas la peine de permettre à
leur victimes d'effectuer le paiement par l'intermédiaire d'une carte bancaire
standard, (Visa, Master Card, etc) utilisée dans
la plupart des pays.
Racket
organisé institué à Cascais ? Les autorités
de Cascais semblent ainsi, non seulement
ignorer la modernité et préférer l'archaïsme,
mais aussi mépriser les
touristes étrangers, allant jusqu'à se livrer
à une sorte de racket sur eux. En
effet, le paiement en argent liquide demeure possible
à la fourrière de Cascais.
Néanmoins chacun connaît les difficultés pratiques
découlant du retrait de sommes importantes pendant
l'été et à l'étranger, dans les distributeurs
bancaires. D'autant
plus que depuis que les nations européennes
sont dominées par le fascisme eurocrate qui
permet à ses banquiers complices de piller Nations
et populations, de nombreuses banques limitent
clairement les retraits en France, et pire encore
à l'étranger. Ces
retraits de sommes importantes sont autant limitées par les banques elles-mêmes, (françaises
notamment), que par les modalités liées à la spécificité
de chaque compte, ou encore à l'impossibilité
de retirer des sommes importantes dans un laps
de temps donné. Chacun sait par ailleurs que
dans les villes touristiques les distributeurs
automatiques sont souvent asséchés.
Par
ailleurs, curieusement, la plupart des banques
portugaises ferment à 15 heures, et ne sont
pas ouvertes le samedi. (Jamais il n'a été possible
à Portugalmania d'obtenir une réelle justification
de cette curiosité :)
Or
si le simple dépassement horaire dans un lieu
de stationnement à Cascais, entraîne les conséquences
désastreuses d'une mise du véhicule à la fourrière,
et le paiement totale de 130 Euros, on imagine
les inconvénients pratiques pour beaucoup de
touristes piégés, de parvenir à retirer cette somme au moment où
ils le souhaitent. L'impossibilité
de procéder au paiement de ce véritable racket,
implique de ne pas pouvoir procéder au retrait
du véhicule retenu à la fourrière, et de voir les frais de stationnement
à la fourrière augmentés d'autant, pour chaque
journée supplémentaire !
Le
véritable racket auquel se livre la mairie de
Cascais, est ainsi aggravé, en prenant doublement
les touristes étrangers en otage !
Outre
ces faits inacceptables, le touriste étranger
pris en otage et objet de cette forme de corruption,
va de surcroit se retrouver
démuni de son véhicule pendant un certain temps,
avec les immenses inconvénients que cette situation
grotesque et ubuesque entraîne, transformant les vacances
en un enfer.
Au-delà
de son caractère ridicule et intolérable, cette
situation est un attentat au respect des touristes,
mais aussi un délit, vu qu'il s'agit là d'une discrimination manifeste de la part des entités locales de Cascais.
Conseils
- Les
actuelles entités de Cascais qui s'adonnent à ces pratiques
oeuvrent par le couvert de l'appellation "Cascais
Proxima", une société anonyme autonome
dont la municipalité de Cascais détient intégralement
le capital, et sévissant au niveau du stationnement
et de la fourrière depuis le 3 Juillet 2012,
date estivale à partir de laquelle - coïncidence
- les touristes commencent à affluer.
Le
but réel de cette manoeuvre est de dissocier
les services publics de la mairie elle-même,
et ceux régissant la répression des véhicules
sur la voie publique,
induisant ainsi une entreprise autonome et rentable, avec toutes
les évidentes dérives qu'il est facile d'imaginer
ou de constater.
(Ceci
découle directement de la destruction que
l'entité fasciste de bruxelles impose aux Nations
piégées, et qui va à l'encontre total de l'intérêt
des citoyens et de la justice. Le Portugal faisant
avec la Grèce et l'Irlande, partie des pays
les plus pauvres parmi ceux qui sont piégés
dans l'UE, ils sont donc
ceux qui ont fait l'objet en premier lieu du
gigantesque pillage perpétré par bruxelles et
les banquiers qui ont créé cette
immense imposture eurocrate, une dictature
perfide qui détruit
les populations. Les autorités portugaises nationales
ou régionales, simples corrompus pour la plupart, ne
servent que de servants dociles, et sont entièrement
complices de cette dévastation).
Coordonnées da
le fourrière de Cascais :
Il
est - à cette date - inutile de chercher
l'adresse de la fourrière de Cascais, y compris
sur l'internet portugais. Vous y trouverez l'adresse
du siège de la société régissant la fourrière,
mais pas l'adresse de la fourrière elle-même.
La
fourrière de Cascais se trouve non loin du centre
ville, près de l'ancienne - et désormais démolie
- arène de taureaux (praça de touros). Elle
est accessible en s'y rendant par taxi (taxi cascais)
mais aussi par un autocar
appelé BUSCAS qui fait le tour de Cascais.
Ticket à acheter dans le bus. Descendre à l'arrêt
: "Praça de Touros". La fourrière
se trouve collée à un espace affiché et régi
par la police municipale, ainsi qu'à un lycée.
On
peut prendre un BUSCAS entre autres arrêts,
à la gare de Cascais, ou près de la mairie de
Cascais, ou près de la citadelle, ou à la bouche
de l'enfer (boca do inferno), ou encore près
du marche de Cascais (mercado)
Téléphone
de la fourrière : 21 464 77 60 (ils ne
parlent pas le français)
A
noter : Que si votre véhicule a été enlevé
par la fourrière alors qu'il ne se trouvait
pas sur un stationnement payant, qu'il était
mal stationné, et qu'il gênait, il est alors
probable qu'il ait été enlevé, - et à juste
titre - non pas par la fourrière de la société
relatée dans cet article, mais par la fourrière
gérée par la police municipale de Cascais. (Les
deux se côtoient sur le même lieu géographique).
En
effet, la police municipale gère les espaces
de Cascais non alloués par concession à la société
Cascais Proxima. Cette police de Cascais s'occupe
donc essentiellement de la surveillance et du
stationnement des espaces non payants. Comme
ces policiers n'ont quant à eux pas d'objectifs
imposés en chiffre, n'ont pas à être rentables
mais justes, et ne bénéficient en principe pas
de commissions sur les contraventions ou les
actes d'enlèvement, ils sévissent beaucoup moins,
et leur objectif n'est pas le racket, mais de
rendre la circulations dans Cascais efficace.
D'où leur plus grande tolérance.
Autrement
dit, vous courrez paradoxalement moins de risques
d'abus à stationner votre véhicule à un emplacement
gênant, plutôt qu'à stationner sur un emplacement
payant en risquant de dépasser le temps défini
sur le ticket de parcmètre. Ce qui s'avère imbécile.
Il
est à se sujet à signaler que la plupart du
temps, les policiers de Cascais s'avèrent compréhensifs
et courtois, et véritablement à l'écoute. Il
s'agit de personnes sensées et apparemment ayant
l'intelligence de comprendre que les touristes
et la tolérance sont de l'intérêt de tous,
et préservent harmonie, justice et bonne image.
Si
on est victime de ces procédés, il
convient :
- De
payer les sommes demandées sur place, correspondant
au racket. Mais de ne pas payer le PV de 30
Euros, qui lui est payable sous 15 jours. Procédez
auparavant aux points suivants avant ce paiement
en faisant valoir vos droits (si tant est
que vous souhaitiez le payer une fois sorti
du pays).
D'autant plus que là aussi, il vous
faudra régler le montant du PV par le biais
d'une carte bancaire portugaise "multibanco",
que vous ne possédez pas. Inutile d'essayer
de régler le PV avec votre carte bancaire étrangère, car
vous n'y parviendrez pas. (Non, les portugais
ne sont pas de piètres imbéciles. Ce sont
en revanche ceux qui sont sensés les diriger
qui s'avèrent d'une médiocrité sans nom. Cela
en est même caricatural).
- De
demander systématiquement à la fourrière de
Cascais, lors de la récupération de votre véhicule,
le livre
des réclamations
: "Livro de reclamações" [li-vro de
- reu-cleu-meu-son-ij ] Et d'y faire part de
vos doléances par écrit, et dans la langue
de votre pays.
- En
cas de réclamations pour des motifs multiples
(ex : discrimination avérée quant à la mise
en fourrière, impossibilité de payer en carte
bancaire de votre pays, augmentation du montant
total du racket du fait de la possibilité du
retrait d'argent aux guichets, détérioration
du véhicule, etc)... procéder toujours par réclamations
distinctes. Donc une réclamation / feuille par
sujet que vous voulez signaler et contester.
- De
faire réclamation de la procédure en contestant,
ou la légalité (ex: : discrimination, zèle,
etc), ou la disproportion de la sanction, pour
le simple dépassement horaire de ticket payant.
Vous disposez de 15 jours pour déposer votre
réclamation. Les éléments sont stipulés sur
le document qui vous sera fourni lors du retrait
du véhicule à la fourrière (en langue portugaise
uniquement, ce qui là aussi est un manque de
respect total envers les touristes étrangers
et leurs droits en cas d'abus)
- De systématiquement déposer
une plainte auprès de la police locale, ne serais-ce
que pour discrimination relative au paiement
non accepté par carte bancaire internationale
et ses conséquences.
- De
déposer une plainte à la police locale pour
discrimination envers des touristes étrangers.
- De
déposer une plainte pour discrimination, zèle
ou abus de pouvoir, voire de banditisme organisé
s'il y a lieu, si vous remarquez, par exemple que
des automobiles immatriculées au Portugal et
se trouvant dans votre cas, n'ont quant à elles
pas "bénéficié" d'une mise à la fourrière,
contrairement à votre véhicule.
- De
vous rendre à la mairie de Cascais, afin de
vous y plaindre verbalement (par pure forme),
en annonçant votre mécontentement, ainsi que
ce que vous comptez faire en parallèle.
- Dans
la mesure du possible, face au racket auquel
vous avez été soumis, aux abus éventuellement
constatés, au manque de respect envers le touriste
que vous êtes, au mépris de vos droits, au zèle
intéressé et affiché par les entités qui perturbent
vos vacances, et à l'incroyable disproportion
de la sanction pour simple dépassement d'horaire,
sans aucune occasionnée dans un espace prévu
pour le stationnement...
Rendez
autant que possible, "la vie dure"
à ces entités qui vous méprisent, faites-les
travailler le plus possible, remplir des formulaires,
faites-leur perdre leur temps en procédures
qu'ils détestent, et donnez le plus grand retentissement
à votre mésaventure. Plus vous les malmènerez,
plus les touristes étrangers seront (enfin)
respectés par les entités corrompues portugaises
qui vous prennent pour un vulgaire objet à cracher
de l'argent !
- Dès
votre rentrée de vacances, vous plaindre auprès
de l'organisme chargé du tourisme portugais
concentrant les plaintes des consommateurs (au
sens large). Ecrivez dans votre langue, et joignez-y
toutes les photocopies et éléments en votre
possession (numéros des feuilles du livre de
plaintes, photos éventuelles, etc).
Téléphone
général du tourisme portugais : 00 351 211 140
200. A ce numéro, demandez le service concerné
régissant les plaintes des touristes. (Serviço
de queixas dos turistas).
- Dès
votre retour de vacances, informez-vous également
de vos droits à ce propos, et réagissez avec
le plus d'efficacité possible, si vous estimez
qu'effectivement vous avez été victime de discrimination
et que le droit international (ou local) a été
bafoué. Les entités coupables seront punies,
et vous pourrez bénéficier d'indemnités compensatoires
en réclamant des dommages et intérêts de surcroit.
- Divulguez
partout où vous pouvez ces abus inacceptables
lorsqu'ils s'avèrent effectivement flagrants.
Loin de faire de la publicité à des maires médiocres
et/véreux, faites-leur une campagne négative,
qui obligatoirement se reflétera sur la ville
concernée. Si les maires imbéciles (ou véreux)
vous prennent pour un pigeon, alors que vous
avez fait fructifier l'économie locale, il n'y
a aucune raison, au contraire, pour que vous
ne lui fassiez pas subir le revers de la médaille.
Qui d'ailleurs à la longue peut s'avérer désastreux
pour la ville concernée.
Ainsi,
non seulement vous contribuerez à punir les
autorités corrompues, imbéciles ou véreuses,
mais aussi à faire respecter la loi, le droit,
ainsi que les rackets organisés contre touristes
étrangers.
Si
d'aventure vous avez entamé une procédure, dépôt
de plainte, etc. et que vous n'en entendez plus
parler, ou que le résultat vous paraisse être
contraire à la logique et à vos droits, n'hésitez
pas à contacter Portugalmania et à nous faire
part de vos griefs, de manière explicite. Nous
vous donnerons les conseils adéquats pour que
cela aboutisse et que pour que vos droits soient
respectés : contact (at) portugalmania.com
Commentaires
et divers
La
société chargée du stationnement à Cascais est
la même qu'à Estoril et à Carcavelos. Dans ces
municipalités dépendantes de Cascais, règne
donc le même "vent de terreur" envers
les touristes automobilistes, de préférence
étrangers.
Après enquête tablant
sur des témoignages, des informations complémentaires obtenues
auprès d'organismes divers, d'indiscrétions
d'habitants de Cascais, de personnes se trouvant dans les
confidences, ainsi que de touristes étrangers
victimes des autorités municipales de Cascais, il
semblerait en effet que quelque chose de bizarre
et d'anormal et d'incohérent se passe à Cascais sur le plan
du stationnement. Après
le départ de l'ancien Maire de Cascais, un nouveau
maire, Carlos Carreiras, a pris la tête de la mairie de Cascais en 2011 sans
avoir été élu, et ce, découlant simplement de sa
position de second sur les listes électorales.
Il
semblerait que depuis que Carlos Carreiras a
repris les commandes de Cascais, maintes "choses
bizarres" se déroulent dans cette ville,
par ailleurs charmante, accueillante et sympathique.
C'est
ainsi que la tolérance et le respect affiché
auparavant envers les touristes et les automobilistes
étrangers par l'ancien maire, d'ailleurs souvent
vantés par les visiteurs de Cascais, se serait
dégradé, et aurait pris cette allure incongrue
et irrespectueuse, ne comprenant pas que les
touristes sont une nécessité pour Cascais, et
que s'il n'y a pas lieu de les favoriser plus
que d'autres, il est imbécile à l'opposé de
leur faire la chasse, de faire preuve de zèle
en affichant du mépris envers
eux, et de faire preuve de discrimination. D'autant
plus que cette discrimination est illégale et
sanctionnée par les lois portugaises et
européennes.
- Il
convient donc de faire très attention si vous
vous rendez à Cascais avec un véhicule immatriculé à l'étranger
car vous risquez d'être une des victimes de
cette chasse organisée zélée, ayant probablement
pour but de renflouer
les caisses municipales sur votre dos.
La
jolie localité de Cascais elle-même, n'est évidemment
pas en cause ni coupable de la médiocrité affichée
par ses piètres élus locaux. Mais elle ne peut
qu'en subir les conséquences. Avec les procédés
utilisés par les responsables locaux véreux
ou imbéciles méprisant les touristes étrangers,
vous conseillerez inévitablement à vos amis
désireux de voir Cascais, de passer en prenant
une photo, et de partir ailleurs.
Corruption
au Portugal
Le
saviez-vous ?
Au
Portugal, la corruption a longtemps été une
règle générale. La population ne s'y livrait
pas par nature mais par obligation. La petite
corruption consistant, par exemple, à payer
un fonctionnaire lui aussi corrompu, pour passer
en priorité à une file d'attente ou pour voir
un dossier traité en priorité, s'est quasiment
éteinte car les nouvelles technologies et l'internet
en particulier, ont permis d'éviter ou d'amenuiser
les contacts directs avec les administrations.
La
corruption plus spécifique consistant à régler
une facture amenuisée et sans avoir à payer
la tva, est quant à elle une constante, découlant
de la pauvreté dans laquelle est entretenue
une grande partie de la population.
Il
est évident que pour un portugais gagnant un
salaire minimum misérable, parmi les plus bas
d'Europe, le moindre euro économisé est précieux.
Cela devient donc une quasi- obligation
pour les portugais de rentrer dans le jeu.
Et
depuis que le Portugal est un pays occupé, se
trouvant sous l'emprise fasciste de l'UE qui
brade le Portugal en morceaux, qui transforme
les villages en déserts, qui tue les droits
et les services publics, et qui impose toutes
ses lois dévastatrices aux portugais, et qui
réduit presque 1 portugais sur 2 à la misère,
cette nécessité de tricher devient carrément
un impératif de survie pour beaucoup, propulsés
dans une pauvreté extrême. C'est d'ailleurs
le même cas pour les grecs et les irlandais,
eux aussi dévastés par le fascisme eurocrate
ayant son siège à bruxelles.
La
corruption des politiciens portugais est par
contre un phénomène constant dans l'histoire,
et perpétré avec beaucoup plus de virulence
et d'ampleur. La corruption politique au Portugal
est apparentée à du banditisme ou à une mafia,
qui s'avère d'ailleurs beaucoup plus ample
également depuis que les politiciens portugais
(comme les autres), sont devenus totalement
inutiles et réduits à de simples marionnettes
serviles de l'entité fasciste germano-bruxelloise.
Ce
banditisme politique au Portugal tient évidemment
au fait qu'il s'agit pour les politiciens nationaux
ou locaux d'une sorte de "compensation
logique" pour services rendus à l'eurocratie,
par le fait qu'ils servent de fantoches et d'alibi
à une démocratie qui n'existe bien sûr plus,
depuis que le Portugal a été piégé par l'UE.
Ainsi
les politiciens portugais actuellement au gouvernement,
ne servent qu'à faire des croix en face de chaque
dictat imposé par le fascisme germano-bruxellois,
tenant sur de nombreuses pages, et commanditant
point par point, la destruction entière du Portugal
et des portugais. Ce véritable massacre barbare
perpétré par l'UE, a déjà en moins de deux ans,
obligé plus de 300 mille portugais à s'exiler
et à fuir vers l'étranger.
Explications
...
Depuis
que le Portugal est entré dans l'UE, outre la
destruction des valeurs, de la Nation, du patrimoine
portugais, de l'économie, et de la vie des portugais
eux-mêmes, décimés par les terribles conséquences
dévastatrices de l'union européenne et de l'euro, le Portugal
est également le lieu d'une gigantesque corruption
affichée par la quasi-totalité des politiciens
portugais et par les entités officielles portugaises,
auxquels s'ajoutent beaucoup de maires et autres
élus locaux. Rares
sont les semaines où des affaires de corruption
n'éclatent pas, mâlant souvent hommes d'affaires, banquiers et politiciens portugais, sachant que la plupart des politiciens corrompus se couvrent les uns les autres, étouffant la quasi-totalité des affaires. Rares sont les cas qui aboutissent à un véritable jugement et ne
sombrent pas dans les oubliettes, après avoir
traîné pendant des années. Corruption
gigantesque, magouilles de grande ampleur et banditisme politique national
et local, sont donc devenus le sport principal
pratiqué au Portugal, depuis que les politiciens portugais
se servent de l'UE et de ses mécanismes perfides
comme d'armes leur permettant de piller les
pays et la population, par tous les moyens
et tous les stratagèmes possibles.
Actuellement,
depuis un an que le Portugal est un pays occupé
par une entité dictatoriale et qu'il subit le
fascisme de l'UE, dans le mépris total
de la démocratie et des lois internationales
(ONU), on atteint le summum
de corruption, amalgamée à un véritable pillage
du pays perpétré par les banquiers qui se servent
du bunker européen de bruxelles qu'ils
ont créé pour pouvoir dévaster les populations
en toute impunité.
Le Portugal est victime d'un
véritable massacre. Les politiciens portugais
ne font que de la figuration, servant d'alibi
à la démocratie. Ce qui leur laisse tout loisir
de tisser immense toile, qui va de la corruption
avérée à l'organisation mafieuse. La constitution
portugaise y est violée allègrement en permanence,
sous l'oeil d'un président (cavaco silva) qui
lui aussi est systématiquement désigné par la
population comme étant lui-même à de nombreuses
affaires de corruption. (Il suffit de prononcer
son nom en présence d'un portugais du Portugal,
pour qu'il se mettre à rire.)
D'ailleurs,
au lieu de défendre les portugais contre le
viol permanent de la constitution par les technocrates
de bruxelles et les politiciens portugais, il
laisse faire, alors que c'est la seule tache
qui l'incombe en théorie. D'où son inutilité
clamée par de nombreux portugais ! L'assemblée
nationale portugaise, elle aussi, n'est plus
qu'un vulgaire théâtre servant essentiellement
à voter des lois pour des amis, et à réaliser
des affaires. Les portugais sont les tristes
victimes de cette gigantesque faune de corruption,
de pillage et de dévastation.
La
misère au Portugal
Lorsqu'on
est touriste, on ne perçoit pas forcément
l'immensité de la misère que l'UE impose au
Portugal.
Car le
massacre se perçoit pour l'instant davantage
les villages (souvent devenus fantômes), que
les grandes villes. Par ailleurs les endroits
touristiques ne sont évidemment pas des reflets
de l'incroyable réalité quasi-morbide imposée
par le fascisme de l'UE aux portugais. D'autre
part, des centaines de milliers de portugais
ont déjà été obligés de s'exiler à l'étranger,
faute de pouvoir se nourrir ou se loger au Portugal,
et encore moins d'espérer y trouver un avenir.
Le
Portugal se vide entièrement de toute sa substance.
L'UE a véritablement été le plus grand désastre
du dernier siècle de l'histoire du Portugal,
y compris lorsque le Portugal a été soumis à
la précédente dictature de salazar.
Le Portugal est loin de mériter
cette insupportable décadence, car il s'agit véritablement d'un pays d'exception,
mais en proie à une démolition, destinée à le
faire devenir une vulgaire région fédérée de
l'empire germanique. Il
est essentiel de rester attentif et de prendre
conscience de cette réalité lorsqu'on se rend au Portugal. Et
il convient donc en parallèle de bien faire
attention de ne pas se retrouver victime de
rackets de toute sorte, dont les municipaux, et de surtout ne pas hésiter à porter
plainte lorsque des abus intolérables comme ceux qui semblent
se dérouler à Cascais, (ou ailleurs), viennent ainsi ternir et salir l'image
du pays. |